Les
individus ciblés par cette activité sont d’innocentes personnes qui
sont devenues, à leur insu, la cible du crime organisé ou
d’initiatives gouvernementales. Elles peuvent aussi tout simplement
servir de cobayes. On les contrôle en les surveillant 7 / 7 jours - 24 /
24 heures, pendant des années et parfois toute leur vie. La plupart ne
savent pas pourquoi cela leur arrive. Et souvent, lorsqu’ils s’en
aperçoivent, il est déjà trop tard. On cherche à les réduire au
silence en les discréditant. En plus, on leur réserve le traitement
suivant : diffamation, rejet, mépris, isolement, intimidation, déni de
services; harcèlement moral, sexuel, électronique, et torture.
L’objectif étant leur destruction, tous les aspects de leur vie sont
touchés. Ils le sont tous en même temps et tout le temps. Ces victimes
se retrouvent isolées, sans aucun soutien. Pourquoi? D’abord, parce
que ce phénomène est méconnu du public, difficile à détecter et à
reconnaître. De plus, le jeu de ces criminels consistant à les
discréditer, ils les font passer pour des parias de la société. Ils
racontent par exemple qu’ils ou elles sont prostituées, pédophiles,
prédateurs sexuels, criminels dangereux, malades mentaux, clochards,
voleurs, etc. Ils sont prêts à tout
pour ce faire. Ainsi discréditées, ces personnes sont finalement
isolées et réduites au silence. C’est le crime parfait. Mais... IL
FAUT QUE ÇA CESSE !
QU’EST-CE QUE LE “GANG STALKING” ?
C’est une forme de terrorisme et de
torture qui trouve sa motivation dans la haine, l’envie, la jalousie ou
la vengeance. Pour plusieurs, c’est un sport, et même un
divertissement. Ce crime, souvent pris comme un simple jeu par les
participants, consiste à persécuter la personne ciblée et à l’isoler
pour finalement la détruire. Les armes principales utilisées sont la
surveillance constante, l’intimidation, la diffamation, le discrédit et
le harcèlement sous toutes ses formes. La personne est traitée comme
un objet avec lequel on s’amuse. On fait souffrir sa cible le plus
possible avant de la détruire. C’est un crime haineux mais silencieux
parce qu’il ne laisse pas de traces évidentes. Pire, ces actes sont
commis sous le regard de tous. Pris isolément, ces actes peuvent
paraître anodins. Mais, la quantité de ces méfaits commis envers une
seule et même personne ainsi que le caractère répétitif de ces
agressions ont un effet cumulatif et destructeur. La situation est donc
aggravée par le temps.
QUI SONT CES CRIMINELS ?
Le “Gang Stalking” peut être initié ou
commandé par un individu ou un groupe de personnes. Celles-ci peuvent
engager des organisations professionnelles pour traquer et harceler la
personne ciblée. Elles possèdent un très vaste réseau de ressources
humaines sans oublier les gangs criminalisés qui sont prêts à
accomplir la tâche. C’est simplement du business pour eux. Leurs
réseaux s’étendent à toutes les couches de la société, même dans
les instances gouvernementales. Leurs contacts peuvent posséder des
liens partout dans le monde. La personne ciblée ne peut donc pas y
échapper en voyageant ou en déménageant. Ce crime haineux et pervers
est donc perpétré par un grand nombre de personnes. Les relations
personnelles, d’affaires et même les proches, sont souvent mis à
contribution, mais le plus souvent à leur insu.
CONSÉQUENCES
Pour les victimes : humiliations
intenses, blessures morales et physiques, éclatement de la famille,
isolement, absence de vie privée, services inadéquats, problèmes de
santé divers. Elles vivent des pertes diverses: identité, réputation,
réseau social, estime de soi, travail, revenus, dignité humaine, etc.
Elles se retrouvent à vivre une souffrance extrême qui peut même les
conduire au suicide très insidieusement.
Pour la communauté : cause à tort un sentiment d’insécurité chez
les citoyens engendré par la seule présence des individus ciblés
dans leur environnement. Ainsi, plusieurs se croyant menacés ou mal
protégés par le système de justice, prennent part à la
«surveillance» des personnes ciblées ou les harcèlent. Le Gang
Stalking étant méconnu, certaines figures d’autorité peuvent aussi y
prendre part. Mais, des criminels aussi. Ces derniers en profitent pour
réduire leur peine de cette manière. Des citoyens y participent en
croyant faire une bonne action. Ils deviennent plutôt complices de ce
crime, souvent, parce qu’on leur avait présenté ces individus comme
étant potentiellement dangereux sous de fausses accusations ce, fausses
preuves à l’appui (faux dossiers, photos ou vidéos truqués,
désinformation, listes noires corrompues, etc.) Attention ! Y
participer n’exclue pas la possibilité d’être ciblé aussi. Vous
l’êtes peut-être déjà et vous ne le savez pas.
France Quenneville, 19 août 2010.